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27/02/2016

27 février 1916

Cette fin de Février est vraiment pénible, mais non surprenante car l’hiver n’avait pas montré ses duretés.
Vous me dites que tout est hors de prix à Paris et ailleurs, cela n’a rien d’étonnant lorsqu’on voit le gâchis du front ; tout est (on ne peut pas dire employé) saccagé, et cela fait mal au cœur quand on songe à ceux qui manquent.
Et puis il faut aussi penser à la note à payer car ne nous faisons pas d’illusions ; ce n’est pas l’ennemi qui paiera cette formidable rançon : un siècle de son labeur n’y suffirait pas et puis la paix n’est pas encore faite sur cette base...

prochaine note : 10 mars

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